Le saviez-vous : Les comportements gênants (1/3) : La liste des comportements indésirables chez le chien varie en fonction de la culture et des habitudes des propriétaires. Toutefois, un certain nombre de problèmes reviennent régulièrement dans leurs plaintes... La prédation d’animaux domestiques : Le chien est un prédateur capable de s'attaquer à des proies très variées, de la souris aux ongulés de taille moyenne, voire grande, si la meute est assez nombreuse. Trois types d'animaux domestiques déclenchent fréquemment l'agression prédatrice : le chat, les volailles, les moutons. Le chat est une proie potentielle qui excite à peu près tous les chiens, qu'ils vivent avec un chat ou non. Cette proie, qui surgit sur le territoire de la famille-meute et fait éventuellement l'objet de menaces de la part des propriétaires du chien, est hautement stimulante. Généralement, on en reste à la poursuite, les chats parvenant à se soustraire à la vindicte canine ; mais on rencontre des chiens qui sont de véritables prédateurs spécialisés et tuent plusieurs chats par semaine. La répétition des succès, le renforcement par l'indulgence bienveillante de nombreux propriétaires amènent le chien à rechercher en permanence les chats des environs. La prédation de volailles ou de moutons est sans aucun doute l'une des nuisances canines les plus gênantes. Les troupeaux d'ovins comme les basses-cours présentent des proies potentielles dans un lieu clos de dimensions limitées. Quels que soient leur espèce et leur type de proie, tous les prédateurs présentent un comportement de chasse désorganisé sitôt qu'on les introduit dans une enceinte saturée en proies. Ils capturent alors tout ce qui passe à leur portée, tuent sans consommer vraiment et ne s'arrêtent que lorsque la plupart des animaux sont abattus. De plus, une proie qui court et s'agite en émettant des cris est particulièrement stimulante. On comprend mieux, dès lors, les dégâts enregistrés et la tendance des chiens tueurs de poules ou de moutons à renouveler leurs exploits. Bien des techniques ont été utilisées pour venir à bout de tels comportements ; peu d'entre elles sont réellement efficaces et utilisables. Les techniques traditionnelles consistant à attacher au collier du chien une volaille morte qu'on laisse en place tout au long de sa putréfaction est absolument inutile, outre son caractère répugnant. De même, le fait de mettre le chien dans un sac dans lequel on introduit un coq... S'agissant d'un comportement parfaitement normal, faisant partie intégrante des réactions profondes de l'espèce, les échecs de rééducation sont fréquents. On préfère sou. vent éviter le contact entre le chien et les volatiles ou les moutons. Si vous recherchez un Centre Vétérinaire de garde à Genappe , c’est par ici !. Vous cherchez à faire faire un examen Clinique Vétérinaire à Houtain-le-Val par un Vétérinaire ?.